ENSEMBLE POUR « UN OCEAN BIEN COMMUN DE L’HUMANITE » !
‘Appel pour l’océan, bien commun de l’Humanité : « Reconnaître « l’Océan, comme bien commun de l’Humanité », c’est reconnaître qu’il est la « chose de tous » et que nous partageons tous la responsabilité de sa gestion durable et de son avenir.
Longitude 181 portant la voix de l’Océan , et initiateur d’un programme les drois de l’Océan, se joint naturellement à cet appel .

Cette campagne a été lancée à l’heure où s’ouvrent à New York (Nations Unies), les négociations sur le statut de la Haute Mer, espace de liberté, mais aussi d’exploitation et de pollution. Elle va se dérouler tout au long de compétitions nautiques majeurs dont la Route du Rhum 2018 , à laquelle participe LONGITUDE 181, et Eric JAIL et son bateau ” La Voix de l’Océan” , jusqu’au Vendée Globe 2020-2021, mais aussi lors d’évènements de la société civile à portée internationale, en France et à l’étranger.
Cette campagne est annoncée également lors de la Route du Rhum ( voir ci-contre extrait du site web ROUTE du RHUM)
Découvrez et signez l’appel pour « l’Océan, bien commun de l’humanité »
C’est la voix de chacun de nous et de chaque communauté : citoyens, usagers de la mer, collectivités … que cette campagne souhaite faire entendre et accompagner dans les grands Forum de discussion ».
C’est la Voix de L’océan !
Découvrez Ocean as common : https://oceanascommon.org/
Rejoignez LONGITUDE 181, Porteur de la voix de L’Océan !
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Producteur de grands films sur la vie sauvage, dont Océans, Jacques Perrin sera le parrain du FESTIWILD, après avoir accepté de parrainer les 


Ce mois d’août, Véronique et François Sarano de Longitude 181 et l’étho-philosophe Baptiste Morizot, ont rejoint l’équipe de Hervé Glotin (Laboratoire d’Information et des Systèmes, LIS de Toulon) qui teste en mer les possibilités du drone Sphyrna mis au point par Fabien de Varennes de Sea Proven . Ce drone de 16 m, premier du genre, présente le double avantage d’être silencieux et de pouvoir rester longtemps sur zone, que ce soit en dérive ou en navigation autonome, alimentée par panneaux solaires. Pour ces essais, il a été équipé des micros analogues à ceux que Longitude 181 utilise depuis 2 ans pour enregistrer en 3D les cachalots de l’île Maurice, hydrophones couplés avec le processeur ultra véloce Jason. Cette fois, ce ne sont pas 3 mais 5 micros pour des enregistrements encore plus performants.
A bord du bateau qui accompagne le drone, le temps s’écoule au rythme des écoutes : toutes les heures, on stoppe le moteur et l’on descend l’hydrophone à 40 m de profondeur pour guetter, casque sur les oreilles, les clics qui signent la présence du cachalot. Dès qu’il sonde, en effet, l’animal émet ces sons brefs, à raison d’un clic par seconde environ, pour scanner les profondeurs obscures à la recherche des calmars. Lorsqu’un le cachalot est repéré, le drone est libéré et se laisse dériver sans bruit pour réaliser des enregistrements, grâce à la batterie de 5 hydrophones qui hérisse sa coque et au processeur ultra rapide mis au point par l’équipe DYNI de Toulon. La vélocité de ce processeur est telle qu’elle permet d’enregistrer une énorme quantité d’informations en une fraction de seconde, ce qui assure la très grande précision recherchée.
Le premier cachalot est suivi pendant 2 heures, un temps correspondant à 2 plongées successives. Dès le dépouillement des premiers enregistrements, l’équipe constate que le système à 5 hydrophones fonctionne à merveille. Les micros, pourtant distants de moins d’un mètre les uns des autres, enregistrent bien les clics avec un léger décalage dans le temps. Cet infime décalage dans l’arrivée des ondes sonore sur les 5 micros est suffisant pour que, à l’aide des outils mathématiques nécessaires, l’équipe puisse calculer la trajectoire du cachalot et retracer sa plongée en 3D. Le procédé se révèle donc performant.


