Le 26 janvier dernier, LONGITUDE 181 a organisé la projection de Sharkwater Extinction, le dernier film du célèbre activiste Rob Stewart, au Club de L’Étoile, à Paris. Le troisième documentaire du réalisateur canadien nous plonge dans le monde de la pêche pirate des requins au Costa Rica, Panama, Espagne et Afrique de l’Ouest. Il dénonce ses conséquences catastrophiques sur les populations mondiales de requins et l’écosystème marin. Chaque année, on estime ainsi que 50, peut-être même 100 millions de requins sont toujours pêchés dans le monde.
L’industrie massive et illégale des ailerons de requins

Un film testament
Avec Sharkwater Extinction, Rob Stewart signe un film émouvant et révoltant pour lequel il a laissé sa vie, puisqu’il a péri durant le tournage en 2017, en remontant d’une plongée en Floride. Son décès tragique donne au documentaire des allures de testament écologique.
En montrant des scènes rarement observées d’un humain interagissant pacifiquement, voire amicalement avec des requins, le documentaire suscite l’empathie pour ces animaux, diabolisés par la culture populaire. Il offre un autre regard sur ces animaux, splendides mais sauvages, qu’il faut savoir respecter comme tels. Ce que savent tous les plongeurs qui ont eu la chance de les côtoyer.
Le requin participe à l’équilibre des écosystèmes

Le film, qui a remporté plusieurs prix, a été projeté le 26 janvier dernier. Il était présenté par Bruno Chatelain, fondateur de filmfestival.com.
Sabrina Menguy, co-responsable de l’antenne Île-de-France, a organisé cette projection, et a ainsi permis à LONGITUDE 181 de porter la voix de l’Océan.
Retrouvez ici la campagne “Pas de requin dans mon assiette !” de Longitude 181