Notre nouvelle boutique en ligne est une source de cadeaux à ne pas négliger . En plus du cadeau que vous offrirez à ceux qui vous sont chers, le plaisir de soutenir notre association s’ajoutera à à celui que nous prendrons de recevoir votre soutien. Trois bonnes raisons pour consulter nos articles pour petits et grands!
Adhérents , sympathisants de L181
L ‘année 2019 se finit et à l’occasion des fêtes de fin d ‘année , vous allez certainement ” faire des cadeaux” avec le souci de faire plaisir à vos proches….
“La pieuvre a gagné..Les tentacules puissants des lobbies industriels ont eu le dessus”(*). Le 12 novembre, les députés européens de la Commission de la pêche ont décider d’avaliser 3 amendements qui permettront la subvention d’une pêche ayant un impact redoutable sur les populations de poisson des mers européennes. Une bataille perdue également pour la petite pêche artisanale…
Six milliards d’euros du Fonds européen pour les affaires maritimes et la pêche (FEAMP) ont été votés pour la période 2021-2027 en subventions publiques destinées à la modernisation de la flotte et à la construction de bateaux neufs, alors que ces dernières avaient été interdites en 2004.
Les 3 amendements (voir notre précédent article) décriés par nombre d’ONG ont tous été votés, et vont permettre notamment pour 3 pays majeurs de redéfinir les subventions alloués la pêche, permettant au sein d’une enveloppe financière de favoriser des bateaux plus grands avec en conséquence une disparition à terme d’une petite pêche artianale et côtière qui est un des moyens pour retrouver une abondance halieutique.
Mais l’arrêt des subventions néfastes est encore possible. Suivez et soutenez les mobilisations pour faire respecter les engagements internationaux, et l’arrêt de la réintroduction de subventions préjudiciables à nos mers et à nos artisans pêcheurs.
Abyssworld, Tour-Opérateur ambassadeur Longitude 181, vient d’obtenir la certification climatiquement neutre pour son agence en Suisse. Abyssworld travaille sur ce projet depuis 2016 pour réduire son empreinte carbone et compenser ce qui n’est pas compressible. Féliciatations pour cette certification, preuve d’un engagement au quotidien pour la préservation de notre planète. Un exemple à suivre !
Le projet de certication climatiquement neutre concerne la gestion des locaux, la consommation en électricité, tous les déplacements en avion du personnel, les déplacements professionnels et les déplacements pour se rendre au travail , Events et salons, locaux, serveur informatique, électricité verte, etc. accompagné en 2019 d’un bilan des émissions avec ecoLive, qui permet de continuer à réduire continuellement les émissions et de manière ciblée. Les émissions qui ne sont pas réduites dans l’immédiat, sont compensées grâce à 2 programmes de protection du climat de reforestation au Nicaragua et d’augmentation de la biomasse dans le Jura suisse.
Ces projets, en plus de réduire les émissions de CO2, contribuent à la protection de la biodiversité et apportent de nouveaux emplois.
Pour en savoir plus et/ou vérifier les labels et engagements, il suffit de rentrer dans la petite loupe sur le site myclimate les n° de certification ci-dessous: myclimate Programme de reforestation au Nicaragua : 01-19-649901 Programme d’augmentation de la biomasse dans le Jura : 01-19-433406me
Quant à la compensation carbone, elle s’inscrit ici dans une démarche beaucoup plus globale de réduction des émissions de gaz à effet de serre, car pour limiter le réchauffement climatique , il faut agir sur deux leviers:
1. Limiter autant que possible les émissions de dioxyde de carbone et des autres gaz à effet de serre dans l’atmosphère, en agissant directement sur les consommations, sur la nature des combustibles utilisés, sur les modes de transport… 2. Compenser les émissions restantes par le financement de projets de réduction ou de capture du dioxyde de carbone, localement ou sur n’importe quel territoire puisque nous savons que l’impact sur le réchauffement climatique est global.
Protéger les océans et ses habitants, c’est maintenant ! Et nous ne pourrons pas dire à nos enfants, nous ne savions pas ! Chaque don, peut faire la différence pour la suite de nos opérations. Longitude 181 vous propose de faire un don avant le 31 décembre 2019 pour bénéficier d’une déduction de 66% du montant de votre don sur votre impôt sur le revenu. Sans vous relancer individuellement car nous vous savons sollicités en cette fin d’année. Merci de prendre le temps de lire ce message ci-après de François SARANO.
Le saviez-vous ? La fin d’année, c’est la période où nous sommes les plus généreux : les dons annuels de fin d’année représentent plus de 50 % de la générosité des français .
Un message de François SARANO, co-fondateur de LONGITUDE 181 :
Chers amies et amis de l’Océan,
Merci, merci sincèrement de l’intérêt que vous portez à nos actions de protection de la vie marine.
Nous sommes dans une urgence. Celle de la situation critique dans laquelle se trouvent certaines des espèces marines les plus emblématiques et les écosystèmes les plus fragiles. Celle du partage équitable et de la transmission des ressources de notre planète à l’heure où nous sommes 7,5 milliards d’habitants. Et demain 10 milliards, sur notre petite planète.
Protéger les océans et ses habitants, c’est maintenant ! … Demain, il sera trop tard ! Et nous ne pourrons pas dire à nos enfants, nous ne savions pas !
L’océan est Notre Patrimoine à tous, ne le laissons pas se dilapider et être indument saccagé.
Mieux, Ensemble nous pouvons offrir à nos enfants un océan plus riche que celui que nous connaissons aujourd’hui. Mais il faut l’exiger.
Dites-le avec force, en nous soutenant !
Nous nous engageons à porter votre voix avec enthousiasme et détermination !
Donnez votre voix à l’Océan… en adhérant à LONGITUDE 181, ou en faisant un don !
Je vous rappelle que vous avez jusqu’au 31 décembre 2018 pour bénéficier d’une déduction de 66% du montant de votre don sur votre impôt sur le revenu.
Chaque don peut faire la différence pour la suite de nos opérations.
Une bataille fait rage : la survie de l’océan! La politique commune des pêches , au travers de son fonds le FEAMP va distribuer des subventions néfastes à la pêche dévastratrice de l’Océan! Le Mardi 12 novemebre , un vote crucial aura lieu. pour gir, suivez l’association BLOOM au coeur de ce combat .
Les juristes du programme ” Droits de l’Océan” initié par LONGITUDE 181 vous alerte régulièrement ou attire votre attention sur des sujets politiques et juridiques majeurs pour l’Océan.Pour comprendre un peu plus la portée du débat sur les subventions, sujet opaque et complexe, voici un résumé établi avec l’aide d’un de nos juristes.
Vous pouvez aussi retrouver ces explications sous forme d’une chronique radio LONGITUDE 181 : https://youtu.be/93RHh-ZSImk.
La PCP ou Politique Commune des Pêches, est une politique européenne structurelle, au même titre que la Politique agricole commune, la PAC, mieux connue. Elle va orienter la politique européenne de la pêche et donc préserver, ou pas, les populations de poissons dans les mers de l’Union Européenne.
Au sein de la PCP, il y a le Fonds Européen pour les Affaires Maritimes et la Pêche, ou FEAMP, qui en est le bras armé. Ce fonds, qui est un budget européen utilisé par les Etats membres, va orienter fortement la PCP, et les moyens financiers de l’administration de cette politique commune des pêches.
Le FEAMP est un sujet majeur, un vrai levier, car soit il alloue davantage de fonds au volet environnemental, soit il encourage des subventions néfastes à la pérennité des ressources.
Et ce sont malheureusement des subventions néfastes que l’Union Européenne veut réintroduire, puisque la révision de cette politique ne reprend pas du tout la voie la préservation des espaces marins, et fait un sérieux recul – on fait un retour de 5 ans en arrière avec les amendements proposés-, alors que l’Océan est dans un état critique de dégradation dû à la surpêche: 69% des stocks de l’Union européenne sont surexploités !
Tout a commencé avec le Parlement Européen qui a voté 3 amendements plutôt problématiques, et qui font, durant cet automne 2019, l’objet de négociations tripartites entre la Commission Européenne, le Conseil de l’Union Européenne, et le Parlement Européen.
Le premier amendement propose une redéfinition de la petite pêche côtière dans les régions ultrapériphériques. De quelle région et de quel état parle-t-on ? Il s’agit des régions telles que les Açores pour le Portugal, les DOM-TOM pour la France, et les quelques îles que l’Espagne détient. On donne la possibilité à chacun de ces pays de redéfinir ce qu’est la petite pêche, et en conséquence l’Espagne, la France et le Portugal – les 2 premières représentant les premières flottes de pêche de l’Europe – pourront allouer des subventions à des bateaux beaucoup plus gros que ce qui était fait précédemment. En clair, on défavorise la pêche dite artisanale (avec des petits bateaux de moins de 12 m) au profit d’armements et d’armateurs plus importants. On peut par exemple définir qu’un thonier de 24m fait partie de la petite pêche, ce qui n’était pas le cas jusqu’à présent ! Et en conséquence transférer des fonds utilisés pour la pêche artisanale à des bateaux plus importants !
Le deuxième amendement favorise la rénovation et la modernisation des navires et des engins. Pourtant, toute étude sur le sujet a toujours montré que la modernisation des moyens de pêche mène systématiquement à la surcapacité des moyens de pêche et donc à la surexploitation des ressources. Les arguments sont que les moteurs qui seront rénovés seront moins polluants, mais on oublie de dire qu’ils seront aussi beaucoup plus puissants. Ils serviront une capacité de pêche supérieure à ce qui existe. Ce qui est un comble quand on prétend vouloir combattre la surpêche !
Le 3eme amendement lui est un vote de rejet : il concernait la transparence des subventions demandées par les ONG. Pour chaque subvention, il était demandé sa justification, qui la reçoit, son montant, son motif, ses conditions d’attribution, rien de plus normal quand il s’agit de l’argent public …Pas de pot, non seulement on va donner des subventions en augmentant les capacités de pêche, mais on ne saura pas qui bénéficiera de ces fonds et pour quelle raison. L’argent public, le nôtre, est tout simplement confisqué pour être laissé dans les mains des techniciens des états membres, des politiques pour servir ce qui leur semblera bon, sans aucun moyen de contrôle. L’argent est hors contrôle, hors de la vue de la société civile. L’Europe serait-elle bananière ?
Et tout cela, c’est pour demain, puisque le fonds concerne l’année 2021. En dehors de quelques ONG, on ne peut que constater que très peu de mobilisation, le sujet n’étant pas vraiment transparent, interdisant à un acteur non averti de réagir. C’est une affaire de techniciens, d’ONG spécialisées et d’administrateurs spécialisés au sein d’institutions, le tout sur fond d’influence et de lobbys.
Pour la France, l’association BLOOM est le fer de lance sur cette thématique.Et le résultat des négociations est imminent pour cette fin d ‘automne…En espérant que les résultats seront différents de ce qui est proposé aujourd’hui. Les 2 espoirs restants sont : la position de la Commission Européenne qui penche en faveur de la société civile en soulignant le caractère improbable des amendements, et les changements advenus au Parlement Européen suite aux élections, les députés actuels pouvant avoir un avis différent de leurs prédécesseurs. Les lobbys bien entendu sont aussi de la partie !
Croisons les doigts! Mais surtout soutenons ceux qui bataillent pour la préservation de nos espaces maritimes et la pérennité de la pêche en Europe.
Les 89 espèces de cétacés ont toute un point commun : elles vivent en société. Que ce soit les odontocètes ou les mysticètes, les individus vivent en groupe, en communauté, en société. Et c’est ce qui leur a permis de conquérir les océans. L’exposition Baleinopolis présente, à l’Aquarium Tropical du Palais de la Porte Dorée, à Paris, les sociétés des cétacés, illustrées par les connaissances scientifiques des 10 dernières années obtenues sur 4 espèces en particulier : les cachalots, les dauphins, les orques et les baleines à bosse.
On y apprend les différents modèles de sociétés, pourquoi ils se sont regroupés pour survivre et pour vivre, comment ils ont développé leur culture et comment ils la transmettent de génération en génération.Scénographiée par Studio Gang, l’exposition est basée sur des films, des sons, des textes et des jeux interactifs permettant de s’immerger dans le monde passionnant des cétacés, avec comme message principal : mieux les connaitre, c’est mieux les protéger.
Commissariat de l’exposition
Olivier Adam (*), commissaire de l’exposition, professeur à Sorbonne Université. Spécialiste de la bioacoustique, il travaille sur les émissions sonores des cétacés, en vue d’étudier leurs comportements, leurs habitats, leurs déplacements.
Nadège Gandilhon, commissaire adjointe, docteure en biologie.
(*) Olivier Adam est l’un des interlocuteurs scientifiques de LONGITUDE 181 dans le cadre du programme Cachalots de LONGITUDE 181 entrepris avec et grâce aux associations MMCO et Un Océan de Vie.
Les 89 espèces de cétacés ont toutes un point commun : elles vivent en société. Que ce soit les odontocètes ou les mysticètes, les individus vivent en groupe, en communauté, en société. Et c’est ce qui leur a permis de conquérir les océans. L’exposition Baleinopolis présente, à l’Aquarium Tropical du Palais de la Porte Dorée, à Paris, les sociétés des cétacés, illustrées par les connaissances scientifiques des 10 dernières années obtenues sur 4 espèces en particulier : les cachalots, les dauphins, les orques et les baleines à bosse.
Comment les cétacés développent et transmettent leur culture ?
On y apprend les différents modèles de sociétés, pourquoi ces cétacés se sont regroupés pour survivre et pour vivre. Mais aussi et surtout : comment ils ont développé leur culture et comment ils la transmettent de génération en génération. Scénographiée par Studio Gang, l’exposition est basée sur des films, des sons, des textes et des jeux interactifs permettant de s’immerger dans le monde passionnant des cétacés. Avec comme message principal : mieux les connaitre, c’est mieux les protéger.
Olivier Adam (*), commissaire de l’exposition, professeur à Sorbonne Université. Spécialiste de la bioacoustique, il travaille sur les émissions sonores des cétacés, en vue d’étudier leurs comportements, leurs habitats, leurs déplacements.
Nadège Gandilhon, commissaire adjointe, docteure en biologie.
(*) Olivier Adam est l’un des interlocuteurs scientifiques de LONGITUDE 181 dans le cadre du programme Cachalots de LONGITUDE 181, entrepris avec et grâce aux associations MMCO et Un Océan de Vie.
La pèche « préventive » aux requins menée par les autorités sur l’Ile de La Réunion capture de nombreuses prises accessoires dont des espèces protégées voire menacées. Emblématique de l’attraction sur les animaux océaniques des appâts disposés à la côte, après un grand requin blanc abattu le 15 octobre 2015, c’est une raie Manta qui en a été victime dernièrement. Quand cessera-t-on l’absurde ?
Par conséquent, les résultats des opérations cumulées au frais du contribuable français sont les suivantes à ce jour :
On en est à 399 requins tigres et bouledogues tués.
En pure perte, puisque l’accès à l’Océan est toujours extrêmement limité pour certains usagers qui ne souhaitent pas se résoudre à respecter les règles élémentaires de sécurité imposée par la pratique d’un sport en milieu naturel.
Didier Dérand, membre du collectif d’associations* dont L181 fait partie, rappelle aux autorités dans sa dernière communication officielle :
« Le requin tigre vit au large et se trouve probablement attiré vers les milieux côtiers par les déchets ramenés par les cours d’eau, la pollution côtière (eaux usées), les rejets organiques (sacrifices animaux, déchets de pêche et de poissonneries), les appâts immergés par le CSR, etc….
C’est un éboueur des mers, intéressé essentiellement par les cadavres : il est très peu impliqué dans les accidents avec l’homme,
Les études génétiques menées par l’université de la Réunion et des universités australiennes ont montré la grande vulnérabilité de ses populations dans la zone,
Il est déjà, comme le requin bouledogue, inscrit sur la liste rouge de l’UICN avec un statut « quasi menacé d’extinction » principalement du fait de la surpêche.
En fait, le requin tigre sert surtout au CSR à “faire du chiffre”….
Ne pourrait-on au moins revenir à des pratiques de pêche plus rationnelles et relâcher les requins tigre capturés ? »
Autre aspect catastrophique en terme de biodiversité, c’est que, malgré le fait que les partisans de cette « pèche préventive ciblée » affirment contre vents et marées, que leurs appâts n’attirent pas (et réclament au passage à être autoriser à passer aux appâts frais, donc encore plus attractifs à longue distance), le taux de prises accessoires atteint les chiffres effarant de 67% ! (lien vers tableau détaillé). Se targuant de 81% de relâche d’animaux encore vivants, combien de ceux-ci mourront plus tard ? Comment se fier à ces chiffres en l’absence d’observateurs indépendants à bord des bateaux ? Comment fermer les yeux sur une liste d’espèces aussi diverses que précieuses pour un éco système déjà si fortement malmené par l’homme ?
La raie Manta est un symbole fort, voire une passion pour nombre de plongeurs… Nous ne pouvons rester muets devant de telles absurdités…
*Sea Shepherd Conservation Society / Longitude 181 / Association pour la Protection des Animaux Sauvages (ASPAS) / Sauvegarde des Requins / Requins Intégration / Tendua / Vivre Activement pour Garder Un Environnement Sain (VAGUES) / One Voice
L’équipe Longitude 181 était au mondial d’apnée à Villefranche-sur-mer (sept 2019), un mondial placé sous le signe de la préservation de l’environnement marin. Claude Chapuis, un des fondateurs de l’apnée en France, et l’équipe AIDA-France ont souhaité présenter une autre image de ce sport extrême. L’apnée, c’est la compétition avec de très belles performances, mais c’est aussi une autre philosophie de vie !
Un mondial sous le signe de la préservation de l’environnement marin.
Illustration dans un reportage de France 3 : Pour un visionnage court et aller à l’essentiel, regarder à partir de la 18ème minute :
Dans ce reportage “Apnée, la nouvelle vague”, plusieurs hauts niveaux de l’apnée présentent leur approche de l’apnée, ce que ce sport leur apporte. Et, ce qui ressort au final, c’est le lien entre l’apnéiste et la nature.
Apnéistes, Longitude 181, une même philosophie : approcher avec respect.
Grâce à leurs vidéos, ces plongeurs de l’extrême nous racontent le monde sous-marin. Ils le font découvrir avec authenticité car ils savent très bien qu’il est urgent de sauver la planète. Guillaume Néry, Julie Gautier, Pierre Frolla, Thomas Bouchard, Morgan Bourc’his, Arnaud Jérald, Alice Modolo et bien d’autres soutiennent Longitude 181 en étant ambassadeurs. Ils suivent la même approche que celle de François Sarano, lors de la création de l’association : nous devons partager durablement et équitablement ces espaces et nous avons la responsabilité d’amener les autres à approcher la vie avec respect.
A l’heure où le prochain Salon sera sous l’égide de la nouvelle génération, notre passeur de passion, François SARANO, lui-même ayant découvert la vie de l’Océan avec Albert FALCO ou le commandant COUSTEAU, a transmis, comme Claude CHAPUIS, comme tant d’autres, le plaisir de la découverte d’un monde sauvage à travers une pratique des loisirs empreinte de respect.
Venez pratiquer, dans les clubs d’apnée ambassadeurs L181,
Cette pratique est un vecteur de liberté, un moyen simple, accessible à tous, pour entrer en communion avec l’environnement marin. Plusieurs clubs d’apnée, ambassadeurs Longitude 181, vous invitent à pratiquer, sans risque et dans le respect du monde vivant.
La nouvelle vague d’apnéistes fait partie de la « génération plaisir » qui a compris que la nature est magique. Il faut la découvrir, l’approcher avec respect et la protéger.
Le 20 Octobre 2019, le CREPS de Voiron (Isère) a accueilli un stage de recyclage des moniteurs organisé par l’ANMP. Une opportunité pour découvrir ou revisiter la Charte Internationale du Plongeur Responsable et pour acquérir les supports pédagogiques pour sa diffusion auprès des plongeurs.
recyclage ANMP – Voiron
Syndicat de plongeurs professionnels, l’ANMP est partenaire de L181. Sur son invitation, Patrice BUREAU, Président de Longitude 181, est intervenu pendant plus de deux heures dans le cadre d’un séminaire de recyclage de moniteurs de plongée, devant un public averti d’une vingtaine de personnes.
Des supports de formation à (re)découvrir sur l’espace moniteur du site de Longitude 181
Le support utilisé a été réalisé conjointement avec Alain Foret (Plongée Loisir – éditions Gap), lui aussi partenaire de longue date de L181. Il permet une meilleure connaissance de l’association, de ses programmes en cours, des Chartes de Plongée Responsable et des supports pédagogiques que nous mettons à la disposition des moniteurs sur notre site internet. (c’est ici : dans L’ESPACE MONITEURS qui leur est dédié sur notre site …)
Une première réussie qui sera rééditée.
Un grand merci à l’ANMP pour son organisation et son accueil !